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MHB 21-28 Aubagne: Le MHB avait trop d'adversaires

Publié le 19 décembre 2010 par

MHB 21-28 Aubagne: Le MHB avait trop d'adversaires
Gymnase Pablo Picasso. 12e journée. Arbitres: MM. Gilbert et Morisset. Mi-temps: 11-9. Spectateurs: 200. Martigues: Delwarde (g), Pouget (g), Biane (10), Youcef (5), Parianos (4), Diallo (1), Bismuth (1), Derafa, Benssad, Birlouez, Pecchi, Rambla. Exclusions temporaires : Pouget (2), Bismuth (2), Parianos, Birlouez, Biane, Rambla, Youcef. Entraîneur : Jacques Delannoy. Aubagne: Bienvenu (g), Vialatte (g), Pasquero (9), Humbert (6), Moussaoui (4), Leguy (3), Remond (2), Siguan (2), Pedrini (1), Gierczak (1), Thouvenot, Campello. Exclusions temporaires : Leguy, Humbert, Remond, Moussaoui, Campello. Entraîneur : Redouane Aouachria. Un écart de +7 en faveur du leader invaincu, quoi de plus normal ? Pourtant Aubagne a frisé la correctionnelle! Pasquero (9 buts) et le duo arbitral - déjà peu à son aise lors du match Istres-Corte - ont grandement contribué à remettre les Aubagnais sur les bons rails. Martigues entame la partie tambour battant mettant Aubagne sur le reculoir. Pouget est énorme dans sa cage, la défense est compacte et l’attaque performante (5-1). Les «sang et or» mènent la vie dure au leader, et même en infériorité numérique durant 4 minutes, Aubagne n’y arrive pas. Il faut des décisions litigieuses pour permettre aux «grenat» de rester dans la course. 11-9 à la mi-temps… Le MHB est sur la route de l’exploit. En seconde période, Biane (10 buts) et ses partenaires ne lâchent rien. Le MHB mène 14-11 mais rate une balle de +4. A partir de ce moment-là, les deux minutes tombent - injustement - comme à Gravelotte coté martégal. Il faut que le MHB soit à 4 sur le terrain pour voir le leader revenir. Dès lors, il n’y a plus de match lorsque pour la première fois Aubagne passe devant (15-16, 46’). Les Martégaux se font sanctionné à tout va, Pouget reçoit deux fois volontairement le ballon dans la tête sans que la sanction suprême ne soit appliquée et s’est lui qui prend l’exclusion, les refus de jeu sont signifiés mais ne sont jamais sifflé… Pasquero et Humbert s’en donnent à cœur joie et profitent de l’aubaine. Du côté martégal le cœur n’y est plus tant le travail fait en amont est réduit à néant par des faits de jeu dans ce qui devient une parodie de handball. C’est la différence entre le leader et une équipe relégable : Cela rigole pour les uns et rien pour les autres. Eric STELLA

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